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Sacrée Santé
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4 novembre 2006

Vaccin anti-coqueluche et mort subite du nourrisson

Sur le site de Votre Santé, j'ai relevé un article qui me touche beaucoup, puisque la vaccination à outrance pratiquée en France sur nos nourrissons est peut être la cause de la mort d'un des miens. (Peut-être, puisqu'à l'époque, mes oeillères ne me permettaient pas de voir ce que certains disaient déjà)

 
    Vaccin anticoquelucheux
    et mort subite du nourrisson
 
  par Michel GEORGET

Comme l'a écrit le Pr Bastin,   partisan des vaccinations, "une vaccination, quelle qu'elle soit, est toujours,   biologiquement et immunologiquement parlant, une offense pour l'organisme". Le retentissement   sur le système immunitaire est plus ou moins fort. L'agression est parfois   tellement violente qu'elle peut conduire à la mort. Cette situation est   d'autant plusc ompréhensible chez un nourrisson dont le système immunitaire   n'est pas encore parvenu à maturité.

Chaque vaccination peut être   suivie d'un effet bien particulier (ostéite après BCG, méningite après   vaccin anti-oreillons, thrombopénie après vaccin antirougeoleux)   mais les complications nerveuses sont de loin les plus fréquentes et les   plus diverses. Depuis l'arrêt de la vaccination antivariolique, et dans   l'attente d'informations objectives sur le vaccin antihépatite B, c'est   au vaccin anticoquelucheux que l'on doit les atteintes neurologiques les plus graves.   Il n'est donc pas étonnant de le retrouver à l'origine de la mort   subite du nourrisson.
  Mais la presse médicale française n'aime pas parler de la mort   subite du nourrisson. Ainsi, un médecin qui signalait dans le Concours   médical deux cas de MSN, l'un chez un nourrisson d'un mois et demi décédé   dans la semaine suivant le BCG, l'autre chez un nourrisson d'un mois décédé   dans la nuit suivant le BCG, s'est vu répondre qu'il ne pouvait s'agir   que d'une coïncidence, avec ce commentaire : "Il faut cesser d'incriminer   les vaccinations dans la survenue de la mort subite inexpliquée du nourrisson. C'est   mauvais pour le moral de la population vaccinée… et pour celui des   vaccinateurs. (1)" Les parents des victimes apprécieront.
  Puisqu'il existe des cas bien établis pour lesquels la vaccination a été   la cause directe de la mort subite, la question fondamentale est de savoir par   quel mécanisme cela peut se produire.
  Un début de réponse est peut-être à rechercher au   niveau de la biochimie du système nerveux végétatif. Ce   système est en effet chargé des contrôles vitaux (cardiovasculaires   et respiratoires). Durant la période périnatale, il y a une abondante production   de neuropeptides et une forte expression de leurs récepteurs cellulaires.   De plus, ces neuropeptides sont de puissants sédatifs pouvant induire   des arrêts respiratoires et leur sécrétion dépend   notamment des situations stressantes de l'environnement. "La mort subite du nourrisson   résulte vraisemblablement de la conjonction de facteurs congénitaux,   maturatifs et de déclencheurs externes (fièvre, inflammation, infection).   (2)" Or la vaccination est une infection, même si elle est atténuée   ; elle provoque de la fièvre. Elle peut donc très bien jouer le   rôle de facteur déclenchant de la mort subite en perturbant notamment l'équilibre   entre les systèmes nerveux et immunitaire dont la maturation est loin   d'être achevée chez le nourrisson.
  Ce rôle déclenchant de la vaccination dans la mort subite semble   bien confirmé par les informations qui nous sont données par le   changement des programmes de vaccination au Japon dans les années 80.   La plupart des vaccins anticoquelucheux utilisés dans le monde sont des   vaccins dits à cellules entières (c'est-à-dire fabriqués   à partir de cultures de bacilles qui sont ensuite tués par la chaleur   lors de la préparation du vaccin). Le Japon a utilisé ce type de   vaccin jusqu'en 1974 avec un schéma de vaccination des nourrissons commençant   à l'âge de 3 à 5 mois. A partir de 1975, la vaccination a   été différée jusqu'à l'âge de 2 ans.   Enfin, à partir de 1981,les Japonais ont utilisé un vaccin dit   acellulaire, c'est-à-dire ne contenant plus la totalité des germes mais   seulement certains de leurs composants, tout en conservant la vaccination à   l'âge de 24 mois. Le résultat le plus spectaculaire a été   la disparition des morts subites liées à la vaccination, quel que   soit le type de vaccin utilisé, dès le report des injections au-delà   de 24 mois. Ce report a également réduit les accidents neurologiques   de plus de 90 % (3).
  C'est un argument supplémentaire montrant que les accidents sont bien   dus à une immaturité de l'organisme des nourrissons lorsqu'on les   vaccine dès l'âge de deux mois.
  Sommes-nous pour autant à l'abri des ennuis avec le vaccin acellulaire   qui a été mis en service dans notre pays en 1998 ? Des essais comparatifs   effectués ces dernières années en Suède et aux Etats-Unis   ne semblent pas dissiper toutes les craintes.
  Dans l'essai suédois, réalisé sur près de 10 000   enfants, deux vaccins acellulaires (l'un à 2 composants, l'autre à   5 composants) ont été comparés à un vaccin à   cellules entières. Si les effets secondaires tels que fièvre, cris   persistants ou réactions locales ont été moins fréquents avec   les vaccins acellulaires, 48 enfants (près de 5 ‰) ont néanmoins   connu des accidents sérieux dans les 60 jours suivant la vaccination,   accidents également répartis dans tous les groupes de l'essai (4).
  L'étude américaine (5) a comparé 13 vaccins acellulaires   administrés à 2 200 nourrissons et contenant entre 1 et 5 composants,   et un vaccin à cellules entières administré à 119   nourrissons. Au cours du suivi, il a été enregistré, chez   les receveurs de vaccins acellulaires, un cas de mort subite, un cas proche de   la mort subite (réanimé), deux attaques dontl 'une 3 heures seulement   après la seconde injection, et un casd'asthme dans le mois suivant la   troisième injection. Encore faut-il ajouter qu'une vingtaine de nourrissons   ont été retirés de l'étude en raison de réactions adverses   lors des premières injections.
  On voit donc que le vaccin anticoquelucheux acellulaire, qui vient d'être   recommandé en France pour les injections de rappel, risque d'amener aussi   son lot de complications d'autant que le caractère réactogène   des vaccins anticoquelucheux acellulaires combinés augmente au moment   du rappel (6).
  La mortalité due à la coqueluche avait déjà régressé   de 96 % depuis le début du siècle quand fut introduit le vaccin anticoquelucheux   associé au vaccin diphtérie-tétanos. En raison de son fort   pouvoir réactogène, faut-il continuer à faire courir un risque   à toute la population infantile pour éviter moins de 10 décès   par an comme c'est le cas depuis 25 ans, sachant par ailleurs qu'aucun suivi   n'est réalisé pour répertorier les accidents ?

Michel GEORGET

Michel Georget est agrégé   de biologie, professeur honoraire des classes préparatoires aux grandes   écoles biologiques et l'auteur de Vaccinations, les vérités indésirables,   aux éditions Dangles.

1. Concours Médical,     1995 ; 117 : 941.
2. Coquerel. Revue internationale     de pédiatrie, 1996 ; 27 : 19-22.
3. Cherry et al. Pediatrics,     1988 ; 81 (suppl) : 937-984.
4. Gustafsson et al. NEJM,     1996 ; 334 (6) : 349-355.
5. Decker et al. Pediatrics,     1995 ; 96 (3) suppl. : 557-566.
6. Grimpel et Bégué.     Archives de pédiatrie, 1998 ; 5 : 557-560.
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Commentaires
L
Je n'ai pas tout lu,<br /> mais j'ai adoré "le medecin Homéopathe" (sic)<br /> qui incite à la vaccination tétanique (oui, oui j'ai bien dit tetanique ! et pas anti...)<br /> un homéopathe empoisonneur peut il être qualifié d'Homéopathe ? je vous pose la question ...<br /> ce brave Samuel doit se retourner dans sa tombe...<br /> et il n'a pas mérité ça !<br /> sans rancune<br /> Christian<br /> http://le-vigilant.over-blog.com
R
Si vous souhaitez témoigner pour Martine58, envoyez moi votre message (en cliquant sur "Contacter l'auteur" en bas de la colonne de gauche).<br /> Je transmettrai votre message sans délai.
M
j'ai vaccine mon fils a 3 mois (tetracoq) il y a 19ans il souffre d'une epilepsie myoclonique severe du nourrisson.La seule chose qui a ete trouve:deficit en anti corp.il est handicape a 80%.cherche temoignage.merci
R
Bonsoir, <br /> <br /> Je n'ai malheureusement pas d'information complémentaire sur ce type d'inflammation des glandes salivaires.<br /> <br /> Vous pouvez chercher, à l'aide d'un moteur de recherche, les expressions "PAROTIDITE OURLIENNE" ou "PAROTIDITE VIRALE" qui font le lien entre oreillons et infection des glandes salivaires.<br /> <br /> Ceci n'est qu'une hypothèse : La vaccination aurait déclenché chez l'enfant une réponse trop forte. Son métabolisme (l'ensemble des transformations moléculaires et des transferts d'énergie qui se déroulent de manière ininterrompue dans la cellule ou l'organisme vivant.) présentant, pour une raison ou une autre, un déficit, cela à entrainé la nécrose, donc la disparition des cellules de la glande. C'est cette disparition qui génère l'inflammation.<br /> <br /> Je suppose que votre médecin a prescrit entre autres un anti-inflammatoire et vous a éventuellement conseillé de faire boire l'enfant.<br /> <br /> En complément, si vous le souhaitez, et avec éventuellement l'accord de votre médecin, le chlorure de magnésium peut augmenter les défenses immunitaires du garcon.<br /> "Traitement cytophylactique d'urgence (activation des moyens de défense) : prise de 60 ml (dose pour adulte) de la solution toutes les 3 heures ou 40 ml toutes les 2 heures. Ceci doit déclencher une diarrhée. La diarrhée est le critère de la réussite et de l'effet du traitement. S'il y a fièvre, elle s'abaisse automatiquement entre 38° et 39°, jamais plus. Cette prise ne doit pas excéder 4 à 5 jours. On peut continuer ensuite à raison de 50 ml le matin et le soir.<br /> Si au début la diarrhée est trop forte, réduire la dose. Ne pas s'inquiéter, il n'y a aucun danger.<br /> Cette dose massive anti-infectieuse est valable pour toutes les infections, même virales. "<br /> http://www.onnouscachetout.com/le-chlorure-de-magnesium<br /> <br /> Les doses pour un nourrisson sont de 1 à 4 cuillère à café toutes les 3 heures.<br /> <br /> Remarque : La diarrhée est l'un des symptômes de l'action du chlorure de magnésium. On peut la considérer, sans certitude, comme "l'évacuation des toxines". Elle est sans danger, à condition de compenser la perte en eau en faisant boire le bébé. Lui proposer souvent un biberon d'eau de source, mais ne pas le forcer à boire : il connait ses besoins.<br /> <br /> Toujours dans le chapitre "complément à la médecine", un autre aspect peut être pris en compte : c'est la partie énergétique de la maladie.<br /> Le corps lutte contre l'infection en consommant de l'énergie. Cette énergie est fournie par le sommeil et l'alimentation (transformée par son métabolisme). <br /> Il est possible que bébé dorme mal à cause de la douleur, et n'ait pas envie de s'alimenter pour la même raison. Si c'est le cas, depuis un mois, son "stock" d'énergie doit s'en ressentir. Un magnétiseur reconnu ou un "thérapeute énergéticien" capable, sont à même d'aider le corps en lui fournissant une énergie additionnelle.<br /> <br /> Je vous souhaite à tous deux de retrouver vite le sommeil, et une parfaite santée !<br /> <br /> Amicalement.
R
Bonjour,<br /> <br /> Mon petit fils de 13 mois a depuis plus d'un mois une inflammation de la glande parotide droite (avec nécrose, selon échographie d'hier) suite à la vaccination contre les oreillons. Avez-vous des informations sur des cas similaires. Que peut-on faire?<br /> Merci de me rendre réponse.<br /> <br /> Meilleures salutations.<br /> <br /> gr
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