Isothérapie et isothérapie urinaire
Certaines personnes font "amaroli". C'est à dire qu'elles prélèvent et boivent directement leur urine du matin. Solution simple et pratique, elle peut poser problèmes. L'isothérapie urinaire est une bonne alternative.
Voir le résumé sur Amaroli par le Dr. Tal Schaller :
http://www.santeglobale.info/tal/Amaroli.html
L’isothérapie consiste à
l’élaboration par l'organisme sous l'influence d'une maladie de
substances permettant de combattre cette même maladie. L'isothérapie
doit être considérée comme une technique de désensibilisation du malade
par rapport à sa maladie.
On l'utilise par exemple pour évacuer les résidus de vaccins...
La technique consiste à préparer une dilution à partir d'un vaccin de même souche que le vaccin injecté. La législation francaise interdisant le déconditionnement de spécialités pharmaceutiques pour réaliser les isothérapies, et puisqu'il est rare de trouver le même vaccin si l'on a été inoculé il y a plusieurs années, la seule solution reste l'isothérapie urinaire.
Cette méthode est personnalisé (ne peut être utilisée d'une personne à l'autre) et permet d'évacuer toutes les toxines présentes dans le corps, pas seulement celles dues aux vaccins.
Elle est donc puissante et ne peut être utilisée à la légère mais avec rigueur et attention.
Historique de l'isothérapie : http://www.iridosite.com/dossiers/isotherapie/isotherapie1.html
Source : http://www.delvaux-danze.be/accueil.htm
L’ISOTHERAPIE,
un traitement efficace
adapté à l'humain,
au règne animal et aux
végétaux
Ce document n'est pas couvert par des droits d'auteurs et nous en
souhaitons une diffusion aussi vaste que possible, à la condition cependant que
le texte soit maintenu dans son intégralité.
Ce système utilisé à bon escient peut contribuer à la survie
d’êtres vivants.
L’homéopathie est
l’application de la théorie des semblables ; en d’autres termes, elle
permet de soigner une maladie dont les symptômes observés sur le malade
concordent au mieux avec des symptômes provoqués par un médicament donné sur
des individus sains. C’est ce que l’on appelle la technique des semblables (similia similibus curentur). Cette
technique fait appel aux « dynamisations », c’est-à-dire aux
dilutions successives accompagnées de succussions.
Il existe deux procédures
principales de préparations des dynamisations : les dynamisations hahnemanniennes
d’une part et les dynamisations korsakoviennes
d’autre part.
Les dynamisations hahnemanniennes sont des dilutions réalisées de dixième en dixième (selon la pharmacopée homéopathique allemande) ou de centième en centième (selon la pharmacopée homéopathique française). On utilise un flacon différent pour réaliser chaque dilution.
Les dynamisations
korsakoviennes se font toutes dans le même flacon (excepté au début et à la fin
de l’opération). Le médecin russe Korsakov travaillait sur des champs de
bataille et a simplifié la méthode dite hahnemanienne pour pouvoir soigner un
maximum de gens avec un minimum de flacons et en un minimum de temps. Samuel
Hahnemann lui même fut mis au courant de la méthode de Korsakov, la testa et
écrivit qu’elle était aussi efficace que sa propre technique de dynamisations.
L’isothérapie (aussi
appelée parfois isopathie) fait appel à la notion d’identité. En somme, une
personne, un animal ou une plante victime de l’action toxique d’un produit ou
d’un microbe ou d’une moisissure ou encore d’un parasite peuvent être rétablis
dans leur intégrité grâce à l’administration de la substance causale en
dynamisation korsakovienne 200 K.
Il ne s’agit plus de
l’utilisation d’un semblable, mais de l’identique.
Hippocrate (450 Avant Jésus
Christ) avait écrit : « Toute
substance capable de provoquer une maladie qui n’est pas est capable de guérir
cette maladie lorsqu’elle est ». Malheureusement, les deux incendies
successifs de la Bibliothèque d’Alexandrie ont fait disparaître une grande
partie des écrits d’Hippocrate et le processus d’application pratique de ce
principe a également été perdu. Mais grâce aux dilutions-dynamisations
homéopathiques 200 K, nous pouvons aboutir au résultat proclamé par Hippocrate.
En raison des résultats obtenus, issus de notre expérience personnelle
(17 ans au poste de directeur scientifique d’un laboratoire homéopathique belge
bien connu) et pour des raisons pratiques évidentes nous décrirons dans la
suite du présent document la préparation des isothérapiques en 200 K (200ème
Korsakovienne) qui sont les dynamisations les plus efficaces en isothérapie....
Les textes complets en fichier PDF sont disponibles sur le site cité en début d'article. :
L'ISOTHERAPIE, un traitement efficace adapté à l'humain, au règne animal et aux végétaux (fichier PDF)
L'isothérapie et la varroase des abeilles (fichier PDF)
ATTENTION : L'isothérapie urinaire est interdite en France... seulement.
Source inconnue.
ISO-URINAIRE
DILUTION MANUELLE
KORSAKOVIENNE
Méthode de décontamination profonde et de reprogrammation
énergétique. Plus commode et plus efficace.
L'isothérapie-urinaire
efface les miasmes des vieilles maladies mal réglées, et les séquelles des
vaccinations. Elle nettoie l'organisme de tous les poisons chimiques et
médicamenteux. Elle relance les défenses immunitaires affaiblies. Elle est une
aide précieuse dans les pathologies lourdes. Enfin, elle est un remarquable
agent destressant qui désamorce efficacement les processus de somatisation.
Notre Corps est notre
meilleur pharmacien.
L'utilisation de l'urine
est l'un des secrets de santé les plus anciens utilisés par les peuples du
monde entier à toutes les époques de l'histoire. Aux Indes, cette technique
appelée "AMAROLI" est largement pratiquée en tant que cure de régénération.
Actuellement, plus de deux millions de Japonais réabsorbent chaque matin une
partie de leur urine, et l'on vante dans les journaux les effets
quasi-miraculeux des cures d'urine pour de nombreuses maladies graves.
En fait, l'urine contient
toutes les informations biochimiques, bio-électroniques et vibratoires de notre
organisme ; les poisons indésirables qui ont été filtrés, les hormones
circulantes qui sont en surplus, les miasmes des luttes bactériologiques et
virales, la régulation des sels minéraux, bref, les témoins de tous nos
métabolismes internes.
On peut dire que l'urine est une mémoire fidèle et un bilan précis de toute notre histoire biologiques, et même psychologique.
LES EXPERIENCES OCCIDENTALES
D'innombrables cas de
survie grâce à la réabsorption de l'urine ont été répertoriés dans des
naufrages en mer, dans les camps de concentration, dans le désert, dans les
catastrophes naturelles... D'autre part, nos propres expériences ajoutées aux
très nombreux témoignages qui nous entourent nous ont amené à des conclusions
spécifiques au contexte occidental dans lequel nous vivons.
Avantages de l'Amaroli :
- Indéniable augmentation
de l'énergie ;
- Recyclage des fuites
minérales et hormonales dans un contexte personnalisé ;
- Grande augmentation de la
diurèse ; intéressante dans beaucoup de cas d'obésité ;
- Meilleur agent nettoyant
et déconstipant de l'intestin.
- Reprogrammation de toutes
les dérives biologiques.
Inconvénients de l'Amaroli :
- Possibilités de crises
d'adénites, de furonculoses, de diarrhée, de fièvre, de vomissements, d'états
grippaux dans les cas de toxémie importante.
- Recyclage toxique de
l'adrénaline chez les personnes hyperactives.
- Blocage psychologique initial, en rapport avec notre éducation et nos croyances.
L'ISOTHERAPIE URINAIRE KORSAKOVIENNE - METHODE DOUCE D'AMAROLI
L'homéopathisation
korsakovienne des toxines et des déchets après recyclage, est un travail
naturel qui se fait constamment par l'organisme, par le biais du système
lymphatique. La dilution Korsakov (à flacon unique) de l'urine est une formule
"prête à l'emploi" pour l'organisme, ce qui le dispense du programme
"pré-lavage" souvent désagréable.
Il est à noter que,
contrairement aux dilutions hannemaniennes, l'homéopathie Korsakovienne manuelle
garde l'empreinte des dilutions précédentes.
Enfin, il faut noter que l'élaboration des produits se fait impérativement avec de l'eau de source (bactéries 0) passée à l'osmose inverse.
INSTRUCTIONS GENERALES
- Ainsi que sur les bons
vins, l'étiquette devrait être fixée avec une colle à l'eau. Le rayonnement des
étiquettes adhésives est nocif pour le produit.
- L'iso-urinaire est
stabilisée à l'alcool pour assurer une meilleure conservation, mais il est
possible de réaliser la fabrication non alcoolisée pour des enfants, des
animaux ou des personnes allergiques à l'alcool.
- Le stockage des flacons
doit se faire dans des endroits "sympathiques". Eviter la proximité
de la télévision, des ordinateurs, des produits chimiques (médicaments, produits
d'entretien, etc....) et aussi des parfums.
- L'efficacité de
l'iso-urinaire n'est effective que dans les 6 semaines qui suivent le
prélèvement urinaire. Il est possible de réactualiser le traitement par un
nouveau prélèvement.
- Il est déconseillé de faire
une iso-urinaire en même temps que " l' Amaroli indien".
Comment effectuer votre échantillonnage urinaire ?
- Prélever impérativement
la première urine du matin.
- Ne récupérer ni le début,
ni la fin de la miction.
- Enflaconner l'échantillon
dans un flacon neuf ou très propre, bien étanche de 50 ml environ, en y
mélangeant 10 % d'alcool à 90 ° (pour la stabilisation).
Matériel nécessaire à la préparation d’une isothérapie en 200 K :
- 6 flacons compte-gouttes neufs et secs de 10 ml (flacons homéopathiques avec insert compte-gouttes)
- 1 Seringue graduée jetable neuve en plastique (P.E.T.) de 10 ml,
- 50 ml d’éthanol pur 90° (alcool bon goût non dénaturé)
- 50 ml de glycérine anhydre
- Un flacon neuf et sec de 250 ml,
- 3 flacons stériles pour analyse d’urine, (ça marche très bien, à condition d’avoir préalablement enlever toute forme d’étiquette collée à sa surface. Si le flacon a été sérigraphie, ça marche aussi mais ça serait mieux avec une étiquette enlevée au dissolvant et le tout bien rincé).
- 3 litres d’eau pure non chlorée, non traitée et très peu minéralisée (p. exemple eau de source).
- Une petite cuvette plastique (+/- 3l de contenance)
- Papier / stylo (qui marche).
- Une feuille de papier d'aluminium.
- Une bonne dose de patience !!!!
Et en cas de réutilisation, un stérilisateur de biberon
devrait faire l'affaire, (intéressant mais pas indispensable à mon sens).
L'inconvénient du plastique est qu'il contient souvent du silicone ou des additifs et
ce n'est pas terrible pour ce genre de travail ou, au bout du compte, on va
obtenir des dilutions extrêmes où le signal de ces additifs pourrait se mêler.
Pour cette raison, l'idéal serait même, plutôt que d'utiliser des flacons pour
analyse d'urine, d'utiliser de véritables tubes de préparation, mais la plupart
des labos n'utilisent que des tubes de 7ml, je n'ai pu en trouver de 12 ou 15
ml, donc j'ai fait avec des flacons d'analyse d'urine.
Par contre le compte goutte est indispensable, quitte à user d'une petite
pipette.
Pour faciliter le comptage, je me suis fait un petit mémo sur un tableur. Découpé verticalement, il me donne 3 fiches que je n'ai plus qu'à cocher sans me tromper...
Masque_Dilutions_K.xls